Dans le décor à l’épure étudiée du neuvième Art, deuxième du nom, le repas est une ode à la délicatesse. C’est l’histoire d’un amoureux de la nature qui n’a de cesse de la réinventer dans ses assiettes. D’un chef au goût consommé pour la composition, celle de jardins à contempler, aux couleurs savamment agencées, aux saveurs intelligemment assemblées, de jardins à déguster. Ce terrien se double d’un esthète. Chez Christophe Roure, l’art n’est pas un vain mot. Tout doit tendre vers la perfection.
LE NEUVIEME ART
Restaurant